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  • danielbosshard

UNE MELODIE A FREDONNER. D’après Lucette Schulé

N’avez-vous jamais eu, une mélodie à votre esprit et que vous fredonnez en boucle et qui ne vous quitte pas ?

Sur le chemin, au retour d’un culte , je me surprends, à chanter encore dans mon cœur, les mélodies les plus aimées des cantiques entonnés à l’église.

J’ai un ami qui fait parfois des travaux chez moi. Tout en œuvrant et dès lors, après avoir mis la main à la pâte, il chantonne. Ou bien je me souviens d’un physiothérapeute, qui, tout en pratiquant son métier, effectuait massages ou élongations chantonnait aussi, accompagnant ses gestes bienvenus. Ou bien, ce facteur, qui, tout en faisant sa tournée sifflait tout le long de la rue ses refrains préférés. On l’entendait et l’on savait que le courrier était acheminé. Ou, cet ouvrier italien, qui psalmodie sur son échafaudage, l’été, au soleil.

Ces personnes respirent la joie de vivre, la bonne humeur, le bonheur, dans tous ses états.

Comme la nature salue le renouveau au printemps, laissant éclore une grande foison de fleurs, comme le merle sifflant au faîte de mon toit, je veux manifester ma joie d’être, d’exister. Je veux rendre grâces à Dieu, le louant, le remerciant, pour ces jours précieux qu’il m’accorde encore.

Parce que je sens en moi, monter des notes de musique disant mon contentement, je me sens bien.

C’est aussi savourer le temps qui passe, avec un petit plus, la manifestation d’un bien-être que seul notre Dieu tout-puissant nous accorde. On parle d’un état de grâces, lors de succès sportifs, mais moi, dans ma cuisine, je vis en permanence avec le Dieu trois fois saint et trois fois béni ce bonheur que je souhaite à tous mes frères et sœurs en Christ.

Un refrain, une chanson.

Pour agrémenter ton existence,

Pour oublier tes peines, tes soucis

Il faut prendre conscience

De ta vie, le prix.

Chante mon cœur,

Dis au Seigneur

Ta reconnaissance, ton bonheur,

Bénis ce Dieu qui veille à tes côtés

Pendant ton labeur

Qui te soutient, qui ne fait que de t’aimer.

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