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  • danielbosshard

DÉPOSER SES SOUCIS. D’après Lucette Schulé.

Déposer ses soucis, au pied de la croix de Jésus-Christ et ne pas les reprendre.

Oui, faire confiance en remettant à Dieu tout ce qui nous préoccupe : notre santé, notre mobilité qui s’en va petit à petit, la vie chère, notre crainte des cataclysmes, d’un monde qui va mal, des guerres qui se multiplient, de la société des hommes manifestant pour un oui, pour un non, un enfant qui va mal, un climat déboussolé, une démographie galopante, qui nourrira l’humanité ? Et comment ? l’épuisement des ressources, la crainte de manquer de quelque-chose, le bouleversement de nos vies malmenées par les progrès technologiques. Oui, comment ne pas être dépassés par la modernité : les tickets de caisse qui disparaîtront, les smartphones de plus en plus sophistiqués, l’informatique qui s’emballe, le ramassage des poubelles modifiée, tout cela, au détriment des personnes d’une génération qui n’aura pas appris et qui a de la peine à suivre, à s’adapter. Cela nous éprouve et notre souci du lendemain est grand.

Ne pas le reprendre : quand je dis : "Ô mon Dieu aies pitié, assiste-moi, comble-moi de ta présence bienfaisante, je tourne le dos à toutes mes préoccupations présentes et futures". J’ai déposé. N’est-t-il pas écrit : "Celui qui met la main à la charrue et qui regarde en arrière n’est pas digne du royaume des cieux". Luc 9.62.

Une fois pour toutes, ma confiance est là et ma sérénité est retrouvée, car je me sens libérée. Je suis comme un oiseau qui s’envole, libre, porté dans son élan par une force supérieure. Je navigue sur des eaux paisibles, je me réjouis de mon sort, de la vie qui est encore en moi, du travail qui m’est confié, du repos qui m’est accordé. Je suis soutenue, aimée, pardonnée. Je ne suis pas seule à cheminer. J’ai un puissant défenseur, un Sauveur, un ami, un frère, un Seigneur : Jésus-Christ.

Déposer et ne pas reprendre.


Je mets en toi ma confiance

Ô Dieu de mon espérance

Je te confie mes soucis

Dont tu me fais crédit.

Je marche allégrement

Sur le chemin, soulignant

Au passage, Ta présence divine

M’édifiant, me consolant de mon humeur chagrine,

Car, c’est toi qui gouvernes

Et la terre et les hommes. Tu cernes

Dans un enclos leur mal-être

Tu le transformes en louanges, en bien-être.

J’ai déposé, je ne reprends plus

Ce qui, désormais est révolu.

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